Ces mots qui nous hantes, qui nous dirigent, ceux que l’on veut s’approprier pour des raisons qui somme toutes sont normales et humaine.
La fierté des uns, la cupidité des autres, la frime, le complexe de supériorité qui habite certains d’entre nous, la rumeur urbaine, les acquis des anciens, etc…
Les imbéciles sont tellement fiers de savoir une chose avant les autres, ils sont tellement jouissif d’étaler une connaissance, que leur régurgitation même pas digérée, nous pollue la vie.
Écoutez parler les cons, ils ont des phrases toutes faites, ils ont des expressions semblables. Ces pauvres gens. Si fier de leur petit savoir idiot et puéril.
Cela se traduit par des phrases du genre je l’avais dis… Et oui une personne vient de mourir, et un con, pour se faire mousser, « je l’avais dit qu’il irait pas loin »
qu’elle honte de frimer alors que des personnes souffrent, qu’une personne vient de perdre la vie…
En général les personnes qui passe leur temps à parler des autres sont des personnes avec une intelligence moyenne voir moindre. Cela est d’autant plus logique qu’il faut certaines connaissances pour avoir un sujet de conversation.
Il est des personnes qui passe beaucoup de temps a surveiller les autres sur des réseaux sociaux, dans le voisinage, dans la famille, etc…
Elle les critiques, elles épies d’une façon malsaine. Elles devraient consulter un médecin psychiatre.
Si l’on dit du mal des autres, c’est souvent pour essayer de se valoriser.
La loi de la relativité oblige. si je dit que tu es moins que moi, par relation logique je suis plus que toi. Cela est dans la tête du frimeur.
En réalité l’auditoire n’est pas composé que d’imbéciles, et les idiots gobent les paroles d’une personne atteinte d’un complexe de supériorité, tandis que les autres et par intelligence ne font qu’écouter avec le seul choix de ne pas créer de conflits inextricables.
J’aimerais un jour pouvoir dirent à ceux qui me mentent, qu’ils mentent.
Le fait de me mentir est pour moi vexant. Je ne dis rien pour ne pas créer de conflits d’entourage, familiale, de voisinage, de travail, de tout ce qui m’entoure en général.
Le fait de me mentir, ou de frimer avec des mensonges, ou de raconter des conneries, me fais gerber.
Ce qui m’énerve le plus, c’est que l’imbécile en face pense que je le crois. Quel con! Quel naïf.
Ce n’est pas parce-que j’ai l’air d’écouter que je crois.
Ne me parler plus des autres en leur absences bande de malfaisants, vous n’êtes pas intéressants. Vous êtes simplement de mauvaises personnes.
Je vous salue.
Alain.